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Achtunddreißigste (letzte) Woche

Begegnung zweier Aussenseiter: Jean Luc Godard und Stephan Zeisig. Wo sonst sollten sie sich treffen als in Pau, der Stadt, aus der schon Henry IV im 16. Jahrhundert nach Paris floh, weil in den Bars und Diskos nichts los war? Gäbe es einen anderen Weg in die Pyrenäen, selbst die Tour de France würde sich den jährlichen Besuch sparen. Aus Platzgründen wurde das Interview in Französisch aufgezeichnet. Die deutsche Übersetzung findet sich in der August-Ausgabe der le monde diplomatique.

 

 Stephan Zeisig: Salut!

Jean Luc Godard: Bonjour! Ca va?

S.Z.: Non.

J.L.G.: Pourquoi? Qu’est-ce qu’il y a?

S.Z.: Je déteste cette question. Elle n’est pas honnête.

J.L.G.: Pourquoi?

S.Z.: On s’est jamais vu. Alors je ne peux pas sérieusement croire que vous voulez savoir comment je vais.

J.L.G.: Mais c’est seulement une tournure pour mieux entamer la discussion. Et honnêtement, si ça va pas, vous pouvez me le dire.

S.Z.: Non, ça va ni mal ni bien.

J.L.G.: Bon … alors …commençons!

S.Z.: Oui…

J.L.G.: …alors, les questions!

S.Z.: Oui, vous pouvez les poser.

J.L.G.: Moi? Non, c’est vous qui les posez.

S.Z.: Moi? Je ne suis pas préparé.

J.L.G.: Mais moi, je suis Jean Luc Godard.

S.Z.: Et alors? Moi, je suis Stephan Zeisig.

J.L.G.: Mais vous n’êtes pas réalisateur. Moi, je suis connu.

S.Z.: Mais personne regarde vos films. Par contre, il y’en a au moins une demi-douzaine de gens qui lisent mes textes.

J.L.G. Ah oui. Mais, c’est parce que vous écrivez des textes commerciaux.

S.Z.: Non!

J.L.G.: Oui!

S.Z.: Vous les avez lus?

J.L.G.: Non, mais ça se comprend. Qui a autant de lecteurs ne peut être qu’un lèche-cul du goût du grand public.

S.Z.: Et vous, vous n’êtes même pas capable de lécher. C’est pour cela que vous vous excusez en prétendant faire de l’art. Une excuse pas très originale.

J.L.G.: Vous êtes venu pour vous foutre de ma gueule?

S.Z.: Non.

J.L.G.: Alors, vous voulez quoi?

S.Z.: Des questions.

J.L.G.: Bof, eh… vous avez quel âge?

S.Z.: C’est nul comme question. Vous n’avez pas plus d’imagination?

J.L.G.: Je ne voulais pas être trop vite trop indiscret. En plus, ça fait longtemps que je n’ai plus fait d’interview. Donc, je suis un peu excité. Bon…vous faites quoi ici à Pau?

S.Z.: Je suis étudiant Erasmus.

J.L.G.: C’est tout? Ce n’est pas très original non plus.

S.Z.: Que voulez-vous que je fasse ici à Pau?

J.L.G.: C’est moi qui pose les questions.

S.Z.: Seulement cette question! Je vous en prie!

J.L.G.: Bon, d’accord. On peut faire du sport ou aller dans la nature.

S.Z.: Je n’aime ni l’un ni l’autre.

J.L.G.: C’est dommage. Moi, j’aime le jogging. Et le cyclisme.

S.Z.: Moi, j’adore le cyclisme, mais seulement en tant que spectateur. Et comme Jan Ullrich mon coureur préféré ne participe pas au Tour de France, je suis très déprimé.

J.L.G.: Je vous comprends. Pour moi, c’était pareil, avec mon chouchou Tony Rominger, qui a toujours perdu contre Miguel Indurain.

S.Z.: Du moins il a trois fois gagné la Vuelta et une fois le Giro.

J.L.G.: Oui, mais pas comme Ullrich le Tour. Et en plus Ullrich est plus beau.

S.Z.:  Oui, ça c’est vrai, il n’y a pas des oreilles comme Rominger. Elles m’ont fait toujours rire.

J.L.G.: Ah oui, la belle époque, l’âge d’or.

S.Z.: Oui, the golden age.

J.L.G.: Ah vous êtes aussi nostalgique.

S.Z.: Oui, depuis que j’ai 18 ans. Ca me tue.

J.L.G.: Je vous comprends. Donc, j’estime que même Pau va vous manquer après votre départ.

S.Z.: Bien sûr, quoique j’ai jamais été vraiment heureux ici. J’ai détesté Pau pratiquement tout le temps. Seulement les derniers mois, c’était un peu mieux.

J.L.G.: T’as pas d’amis ici?

S.Z.: Bon,  il est difficile de dire. Une personne, peut-être. Peut-être deux. Le problème, je ne sais même pas si je peut être un ami. Je sais même pas si cela existe encore pour moi. Autrefois, oui, mais aujourd’hui. Si je vois des gens trop souvent, ils m’énervent. Il y a peu d’exceptions. Mais en même temps on se sent seul. En outre, la plupart des gens ne me comprennent pas. Si on parle d’une manière ironique, si on exagère, si on provoque, ils essaient de t’éviter. Il faut toujours jouer le mec super sympa et ennuyeux pour avoir du succès. Il suffit que tu refuse la tournure ça va ?. Ce sont souvent que des menteurs.

J.L.G.: Moi, je mens aussi.

S.Z.: Je mens aussi quelquefois, mais moi, je fait pas semblant d’aimer quelqu’un lorsque ce n’est pas le cas. On ne m’a jamais posé autant de lapins pendant si peu de temps comme ici. C’est normal que tu deviens méfiant. Moi, j’essaye d’être fiable. Je suis pas rancunier et j’accepte des excuses, mais si ça arrive régulièrement… Le pire, c’est de ne pas savoir ce que les autres pensent de toi, surtout quand c’est quelqu’un que tu aime un petit peu. Ca me rende dingue. Quand je le sais, je peux facilement m’en foutre, mais sinon. Finalement, je croie, ce n’est pas difficile, de savoir, si j’aime quelqu’un ou pas. Je critique, mais je suis assez honnête. Et on peut aussi critiquer une personne et l’aimer en même temps. Bon, malheureusement, beaucoup de gens sont des abrutis et ne le comprennent pas.

J.L.G.: Partout, ce sont les abrutis qui dominent.

S.Z.: Ouais, je le sais. Mais ici, j’avais besoin de rencontrer quelqu’un qui ne l’est pas. Quand on se sent seul, c’est plus frappant. Je ne m’aime pas moi-même. J’essaie de ne pas être trop tolérant avec moi même. Comment être tolérant avec des autres, qui ne pensent qu’à eux-même, avec des étudiants qui s’en foutent des autres, pour qui la vie consiste à aller à la Noche …

J.L.G.: La Noche, c’est quoi?

S.Z.: …une boîte de merde, j’ai jamais vu ça avant …à fumer des joints, se pinter la gueule et à sauter quelqu’un. Ils sont pratiquement lobotomisé. Mais si tu les critiques, ils commencent à lamenter. C’est la seule chose comment tu peux les faire réagir. C’est dommage. En plus, ils ne comprennent rien de la critique. Tu a seulement enfreint une convention sociale. Je ne peux pas pardonner ça à des étudiants qui devraient avoir les capacités intellectuelles pour assumer plus de responsabilité dans leur vie.

J.L.G.: Quelle responsabilité?

S.Z.: Ca, je ne dis pas. Je ne suis pas encore professeur.

J.L.G.: Et toi, tu ne te fous pas des autres?

S.Z.: Si je le fais mais j’ai une mauvaise conscience. Et si ce sont des gens qui le méritent, bien sur.

J.L.G.: Tout le monde devrait être comme toi?

S.Z.: Non, je veux rester un cas particulier. En plus, mes propres fautes me rendent déjà dingues. Mais si tu vois que beaucoup d’autres sont encore pires, comment ne pas être réaliste et ne plus rien attendre de la vie.

J.L.G.: Tes fautes?

S.Z.: Oh… je n’ai pas envie de toutes les citer. Si quelqu’un en ressent le besoin, il peut le faire. Une, je vais vous trahir, mais cela reste entre nous. Quelquefois je suis certes un peu sévère dans mes jugements. Mais bon, c’est peut-être le seule chose qui me reste de ma jeunesse, la qualité de pouvoir détester tout.

J.L.G.: Peut-être, c’est seulement l’amertume, comme chez moi. Je voulais pas te le dire, mais c’est pour cela, que je tourne de tels films.

S.Z.: Peut-être. Je ne l’espère pas.

J.L.G.: Alors, tu déteste tout et tout le monde à Pau?

S.Z.: Non, le Matisse, ça me plaît. C’est un bar. J’aime J.P., le gérant. Le Méliès aussi. La bibliothèque Arbizon. Et la laverie place du Forail.

J.L.G.: Ah oui! Elle est bonne, la laverie?

S.Z.: Impeccable.

J.L.G.: Bon, au cas échéant, je vais y passer …alors, on finit?

S.Z.: Je voulais encore dire, qu’il y des bons groupe de music: Okploïde, Kaligare et Peter Plane. J’en ai des disques et c’est bien pour ma réputation à Berlin puisque là-bas personne ne les connaît. Je mentionne aussi Immortal Ayatollah. Ca ne me plaît pas, c’est du Black, mais je connais le chanteur.

J.L.G.: Du black, c’est quoi.

S.Z.: C’est du Black Metal.

J.L.G.: Black Metal, c’est comme Gun’s’Roses?

S.Z.: Pour beaucoup de gens oui, mais en réalité non. Je peux pas l’expliquer. Il fallait mieux passer chez mon pote Guillaume.

J.L.G.: D’accord. Bon, c’est fini?

S.Z.: Oui.

J.L.G.: Après tout, l’interview n’était pas si mal que ça.

S.Z.: Oui. Vous savez que les Français trouvent que les Suisses ont un accent rigolo, quand ils parlent le français?

J.L.G.: Ils pensent la même chose des Allemands.

S.Z.: Je sais, mais on me prend souvent pour un Anglais.

J.L.G.: Ouf, ça, c’est pire quand même.

 

Uebersetzung durch Babelfisch

 

Stephan Zeisig: Salut!

Jean Luc Godard: Guten Tag! Ca geht?

S.Z.: Nein.

J.L.G.: Warum? Qu.est qu.il hat dort?

S.Z.: Ich verabscheue diese Frage. Sie ehrliches n.est nicht.

J.L.G.: Warum?

S.Z.: Man s.est nie angesichts. Dann kann ich nicht ernsthaft glauben, daß Sie wollen Sie wissen, wie ich gehe.

J.L.G.: Aber c.est nur eine Wendung, um die Diskussion besser zu beginnen. Und ehrlich, wenn das geht, können Sie mir es sagen.

S.Z.: Nicht geht das weder schlecht noch gut.

J.L.G.: Gut. dann   commençons!

S.Z.: Ja.

J.L.G.: alors die Fragen!

S.Z.: Ja können Sie sie stellen.

J.L.G.: Mich? Nicht c.est Sie, die sie stellen.

S.Z.: Mich? Ich werde nicht vorbereitet.

J.L.G.: Aber mich bin ich Jean Luc Godard.

S.Z.: Und dann? Mich bin ich Stephan Zeisig.

J.L.G.: Aber Sie n.êtes nicht Regie-. Mich bin ich bekannt.

S.Z.: Aber Person schaut Ihre Filme an. Dagegen hat er y.en wenigstens eine halbes Dutzend Leute, die meine Texte lesen.

J.L.G. Ah ja. Aber c.est, weil Sie Handelstexte schreiben.

S.Z.: Nicht!

J.L.G.: Ja!

S.Z.: Sie Ihnen gelesen haben?

J.L.G.: Nicht, aber umfaßt sich das. Wer hat genausoviel Leser kann nicht sein qu.un leckt-Boden vom Geschmack der breiten Öffentlichkeit.

S.Z.: Und Sie Sie n.êtes sogar nicht fähig zu lecken. C.est für das, daß Sie entschuldigen sich, indem sie behaupten, von l.art. eine Entschuldigung nicht sehr zu machen original.

J.L.G.: Sie sind für Sie foutre von meinem Mund gekommen?

S.Z.: Nein.

J.L.G.: Dann wollen Sie, die?

S.Z.: Fragen.

J.L.G.: Bof eh. Sie haben welches Alter?

S.Z.: C.est niemand als Frage. Sie n.avez mehr d.imagination?

J.L.G.: Ich wollte zu schnell zu nicht indiskret sein. Außerdem macht das lange Zeit daß ich n.ai erledigteres d.interview. Donc ich ein wenig angeregt werde. Bon.vous gemacht das hier in Pau?

S.Z.: Ich bin Student Erasmus.

J.L.G.: C.est alles? Dieses sehr originale n.est nicht auch nicht.

S.Z.: Was wollen Sie, daß ich hier in Pau mache?

J.L.G.: C.est mich, der die Fragen stelle.

S.Z.: Nur diese Frage! Ich bitte Sie davon!

J.L.G.: Gut d.accord. kann man Sport machen oder in die Natur gehen.

S.Z.: Ich n.aime weder l.un noch l.autre.

J.L.G.: C.est Schaden. Mich j.aime das jogging. Und das Radfahren.

S.Z.: Mich j.adore das Radfahren, aber nur als Zuschauer. Und wie Jan Ullrich mein vorgezogener Läufer nimmt nicht an der französischen Umdrehung teil, ich bin sehr niedergedrückt.

J.L.G.: Ich erfasse Sie. Für mich c.était ähnlich, mit meinem chouchou Tony Rominger, das immer gegen Miguel Indurain verloren hat.

S.Z.: Wenigstens hat er dreimal gewonnen Vuelta und einmal Giro .

J.L.G.: Ja, aber nicht wie Ullrich die Umdrehung. Und außerdem ist Ullrich schöner.

S.Z.:   Ja, das wahres c.est hat er n.y Ohren wie Rominger. Sie m.ont lassen immer lachen.

J.L.G.: Ah ja das schöne Zeitalter l.âge d.or.

S.Z.: Ja, the golden Alter.

J.L.G.: Ah Sie sind auch nostalgique.

S.Z.: Ja, seit j.ai 18 Jahre. CA tötet mich.

J.L.G.: Ich erfasse Sie. Also j.estime, das sogar Pau Ihnen versäumen wird nach Ihr Start.

S.Z.: Natürlich, obwohl j.ai wirklich glücklich nie gewesen hier. J.ai verabscheut Pau praktisch die ganze Zeit. Nur in den letzten Monaten c.était ein wenig besser.

J.L.G.: T.as nicht d.amis hier?

S.Z.: Gut   ist es schwierig zu sagen. Eine Person vielleicht. Vielleicht zwei. Das Problem weiß ich nicht einmal wenn ich ein Freund sein kann. Ich weiß nicht einmal, ob das noch für mich besteht. Früher ja, aber aujourd.hui., wenn ich Leute zu oft sehe, m.énervent sie. Er hat dort wenig d.exceptions., aber gleichzeitig fühlt man sich einzig. Außerdem Mehrzahl der Leute umfaßt mich nicht. Wenn man spricht d.une ironische Art, wenn man übertreibt, wenn man verursacht, versuchen sie von t.éviter. er notwendig sind immer den langweiligen Typ sympa und super zu spielen, um vom Erfolg zu haben. Es reicht aus, daß du die Wendung ab lehnt das geht  ? . Dieses oft sind nur Lügner.

J.L.G.: Mich lüge ich auch.

S.Z.: Ich lüge auch manchmal, aber mich mache ich scheinend d.aimer quelqu.un wenn dieses n.est nicht der Fall. Man m.a nie gestelltes genausoviel Kaninchen während so wenig Zeit wie hier. C.est normal, das du wirst méfiant. Mich, j.essaye d.être verläßliches. Ich bin nachtragend und j.accepte von Entschuldigungen, aber, wenn das regelmäßig vorkommt. Das schlechteste, c.est nicht zu kennen, was die anderen von toi denken, besonders, wenn c.est quelqu.un, daß du magst ein kleines wenig. CA macht mir dingue. Wenn ich es weiß, kann ich leicht m.en foutre, aber andernfalls. Schließlich, glaube ich, dieses schwierige n.est nicht von zu wissen, ob j.aime quelqu.un oder nicht. Ich kritisiere, aber ich bin ziemlich ehrlich. Und man kann auch eine Person und l.aimer gleichzeitig kritisieren. Gut, leider, sind viele Leute abrutis und begreifen es nicht.

J.L.G.: Überall sind es die abrutis, die vorherrschen.

S.Z.: Ouais ich weiß es. Aber hier j.avais Notwendigkeit zu begegnen quelqu.un, die l.est nicht. Wenn man sich einzig fühlt, erstaunlicheres c.est. Ich m.aime Schritt selbst. J.essaie mit mir nicht zu tolerant zu sein sogar. Wie mit anderen tolerant zu sein, die qu.à sogar- sie mit Studenten denken wer s.en foutent von den anderen, für die das Leben darin besteht, zu Noche zu gehen  .

J.L.G.: Noche, c.est das?

S.Z.:   une Kiste merde j.ai nie angesichts das vor   à von den Fugen zu rauchen es pinter der Mund und zu springen quelqu.un. lobotomisé sie praktisch. Aber, wenn du die Kritiken sie beginnen zu klagen. C.est die Sache allein wie du sie reagieren lassen kannst. C.est Schaden. Außerdem sie begreifen nichts der Kritik. Du hast verletzt nur ein Übereinkommen sozial. Ich kann nicht das an Studenten verzeihen, die haben müßten die intellektuellen Kapazitäten, um mehr Verantwortung zu übernehmen in ihr Leben.

J.L.G.: Welche Verantwortung?

S.Z.: CA sage ich nicht. Ich bin noch nicht Professor.

J.L.G.: Und toi du dich verrückt nicht von den anderen?

S.Z.: Wenn ich es mache, aber j.ai ein schlechtes Gewissen. Und wenn es Leute sind die verdienen es, natürlich.

J.L.G.: Jeder müßte als toi sein?

S.Z.: Nicht will ich ein besonderer Fall bleiben. Außerdem geben meine eigenen Fehler zurück mir schon dingues. Aber, wenn du siehst, daß viel d.autres noch schlechter sind, wie realistisch zu sein und mehr nichts vom Leben zu erwarten.

J.L.G.: Tes Fehler?

S.Z.: Oh. ich n.ai nicht beneide von allen, sie zu zitieren. Wenn quelqu.un davon fühlt Bedürfnis kann er es machen. Eins werde ich Sie verraten, aber das bleibt zwischen wir. Manchmal bin ich in meinen Urteilen sicherlich etwas streng. Aber gut, c.est vielleicht die einzige Sache, die mich von meiner Jugend bleibt, die Qualität von alles verabscheuen zu können.

J.L.G.: Vielleicht l.amertume c.est nur wie bei mir. Ich wollte dich das Sagen, aber c.est für das, daß ich von solchen Filmen drehe.

S.Z.: Vielleicht. Ich l.espère Schritt.

J.L.G.: Dann verabscheust du alles und jedes in Pau?

S.Z.: Nicht gefällt Matisse, das mir. C.est eine Bar. J.aime J.P. der Geschäftsführer. Méliès auch. Die Arbizon-Bibliothek. Und die Stellenwäscherei Forail.

J.L.G.: Ah ja! Sie ist gut, die Wäscherei?

S.Z.: Einwandfrei.

J.L.G.: Gut am fälligen Fall werde ich dazu übergehen   alors, man beendet?

S.Z.: Ich wollte noch sagen qu.il dort von der guten musicgruppe: Okploïde, Kaligare und Peter Plane. J.en gut haben Sie Platten und c.est für meinen Ruf in Berlin, da là-bas niemand sie kennt. Ich erwähne auch Immortal Ayatollah. CA mich gefällt nicht, c.est Black, aber ich kenne Sänger.

J.L.G.: Vom black, c.est das.

S.Z.: C.est du Black Metal.

J.L.G.: Black Metal, c.est, comme Gun.s.Roses?

S.Z.: Für viele Leute ja, aber in Wirklichkeit nicht. Ich kann l.expliquer. Man mußte besser bei meinem pote Guillaume übergehen.

J.L.G.: D.accord. gut beendetes c.est?

S.Z.: Ja.

J.L.G.: Nach allem l.interview n.était so schlecht wie das.

S.Z.: Ja. Sie wissen, daß die Franzosen finden, daß die Schweizer einen Akzent haben rigolo wann sprechen sie Französisch?

J.L.G.: Sie denken dieselbe Sache der Deutschen.

S.Z.: Ich weiß, aber man nimmt mich oft für einen Engländer.

J.L.G.: Ouf, das, schlechteres c.est trotzdem.